¿El “Grande Numero” participa en la ciudad 50 años después?
DOI :
https://doi.org/10.12795/HabitatySociedad.2020.i13.19Mots-clés :
Arquitectura, Crisis, Exposiciones, Trienal di Milano, Participación, Giancarlo De CarloRésumé
Este artículo de debate trata de la exposición titulada como el “Grande Numero”. Esta exposición fue el escenario fantasma de la Trienal XIV de Milán de 1968. Un escenario que podría ser percibido como un “amarcord” invertido en la actualidad. La exposición fue organizada con el arquitecto italiano Giancarlo De Carlo con un papel protagonista. En el “Grande Numero” se definieron los detalles constructivos, se invitó a conferenciantes de prestigio, se atrajeron participantes a nivel internacional, se diseñó el espacio físico, se llamó a los medios de comunicación. Sin embargo, no se celebró. Fue ausente y ocupada, a priori, por un movimiento ciudadano, por un descontento generalizado y cristalino a escala internacional. Frente a la tangible crisis de mayo de 1968 nos encontramos en la actualidad la “intangible” de mayo 2020. Surge entonces, de nuevo, el debate en torno a “el Grande Numero” y la “participación” en la ciudad 50 años más tarde.
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